GRIS et l’émerveillement

J’adore être émerveillée! Que ce soit devant un paysage impossible, devant une œuvre d’art contemporaine, ou, évidemment, à l’intérieur d’un roman! Les non-initiés seront peut-être  surpris, mais l’émerveillement se trouve également…  dans les jeux vidéo!

Depuis deux semaines, je joue à GRIS, un jeu indépendant sur la Nintendo Switch. Je le joue les yeux ronds, la bouche ouverte, et le cœur palpitant. Sans un mot, avec à peine des fragments de narrations, ce jeu me transporte dans un autre univers. Je vous mets un vidéo ci-dessous, mais ça ne peut valoir le sentiment de jouer ce personnage, de contrôler soi-même ses déplacements dans ce monde où la beauté vous surprend à chaque détour.

Le « gameplay », ou éléments de jeu, si vous préférez, est très léger. C’est presque une simple balade, à peine agrémentée de quelques défis de réflexions. Tout à fait accessible aux non-gamers, si jamais le cœur vous en dit.

Mon seul regret? Le jouer sur une simple télévision. C’est le genre d’expérience pour laquelle la réalité virtuelle a été inventée!

Bon, peut-être un deuxième: ne pas être certaine qu’il soit possible de recréer un tel émerveillements avec de simples mots dans un roman… ce qui ne m’empêchera certainement pas d’essayer!

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