Que serait Victor sans Mathieu?

Durant les derniers jours au Salon du Livre de Montréal, j’ai réalisé quelque chose : lorsque je parle de Victor Cordi, les enfants s’allument, mais c’est lorsque je leur montre les images intérieures au fil de mon discours qu’ils accrochent le plus!

Voici donc quelques illustrations que Mathieu Benoit a faites pour les deux premiers livres, accompagnées de mes descriptions de races, créatures et personnages. Vous pouvez également aller voir ce qu’il a fait pour d’autres livres en visitant son site web!

Il y a les Kampitois, qui ont la peau tachetée de diverses teintes de brun, et sont couverts de piquants de la tête aux fesses. Ils peuvent changer la texture; assez souple pour les tresser dans la vie de tous les jours, et très rigide pour se défendre au combat. Ils peuvent également en changer la couleur, que ce soit pour intimider l’ennemi avec une couleur voyante, ou se camoufler dans les champs.

 

Il y a aussi les Multaks, des guerriers très agiles. Leur visage est posé au centre de leur corps, et ils ont 5 bras (ou jambes, c’est selon). Lorsqu’ils se battent, ils roulent sur leurs cinq membres de manière latérale, ce qui leur permet de bouger très rapidement, tout en restant face à leur adversaire.

Et lui, c’est le Grand Machiavélicon. Il est d’une race d’hommes-arbres, nommés les Persistants, mais il s’est déraciné et s’est transformé grâce à ses capacités en magie pour ressembler le plus possible à un humain. Autour de lui, on voit des Particelles, des petites boules de poils absolument charmantes prises individuellement, mais qui peuvent communiquer en réseau et ainsi s’agglutiner en diverses formes comme en escalier, en cage ou en monstre.

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