J’ai passé mes vacances, soit tout le mois de Juillet, dans les Pyrénées. Les buts étaient multiples : passer des vacances « à la montagne », ce que l’on n’avait jamais fait, éviter le surtourisme, et tenter d’éviter les canicules.
Côté montagne, succès complet! C’est très inspirant, ces paysages qui s’étirent en couches successives jusqu’à l’horizon! Des gorges, des ravins, des cascades, des cavernes, bref la possibilité de l’aventure à tous les tournants! Ne soyez pas surpris de me voir écrire, d’ici deux ou trois ans, des histoires qui se passent en terrains montagnards!
Côté canicule, c’est un échec, nous avons eut droit à la pire canicule du coin depuis 2003, dans une région où la climatisation est inexistante. Je rêve de Yukon et d’Écosse pour le prochain grand voyage (qui n’aura pas lieux avant au moins deux étés).
Mais la grande surprise de mon voyage, c’est d’y avoir croisé le héros d’un de mes premiers grands coups de cœurs littéraire, que voici :
Il s’agit de Gaston Phébus. Une figure historique française du 14e siècle, mais surtout, pour moi, le personnage principal de cette trilogie que j’ai dévoré à l’adolescence.
C’est ma cousine qui m’avait mis ces livres dans les mains, et j’étais tombée complètement sous le charme. Gaston Phébus est à la base même de mon amour du roman de cape et d’épée, et le croiser cet été m’a beaucoup ému en pensant à la jeune Annie Bacon de 14 ans qui dévorait ses aventures.
On dit qu’il vaux mieux ne jamais rencontrer ses héros… moi je dis qu’en statue, ça va!